Commentaire de C. trav. Bruxelles, 25 juin 2009, R.G. 45.536
Mis en ligne le 14 juillet 2014
Le droit au crédit-temps - et, en conséquence, le droit aux indemnités d’interruption – est accordé en fonction de l’occupation du travailleur chez un employeur déterminé et il prend fin avec celle-ci. Dès lors que le travailleur serait ultérieurement réengagé chez un nouvel employeur à raison de 4/5e, cette circonstance ne suffit pas à le faire bénéficier des allocations pour ce deuxième contrat, alors qu’aucune nouvelle demande n’a été introduite.
L’occupation requise pour ouvrir le droit aux allocations doit-elle être ininterrompue ?